Hillary Clinton, candidate for the Democratic Party nomination for the November presidential election started campaigning too early and too fast. At first, it seemed like none of her opponents, particularly Barack Obama, could ever climb to meet her. Now, almost at the end of the race, the former First Lady is exhausted. Defeats pile on at the primaries and caucuses, her advisers resign, and super-delegates flee. Should she continue the race, in opposition to the stunning rise of Barack Obama, or simply throw in the towel?
The die seems cast, though the New York Senator and former US First Lady Hillary Clinton’s ambitions for the White House are not over. She launched her campaign very early, well before any of the other Donkey Party candidates announced themselves.
While some of the voters did not give her the chance to succeed, others saw her immediately as the first female president of the United States and gave her their votes in primaries and party caucuses. This explains her early, but ephemeral, successes.
Today, beyond the halfway point of the campaign, hopes to see Hillary Clinton as the nominee for the Democratic Party are becoming increasingly slim.
Figures released Friday by NBC on the progress of two contenders for the Democratic nomination, Hillary Clinton and Barack Obama, demonstrate the change in the race dynamics. According to these figures, Barack Obama, who was far behind the former first lady, especially in the number of super-delegates, has gained dramatically on Clinton. In fact the remaining gap, which had been in the hundreds, has been reduced to two dozen.
Thus, at last count, Hillary Clinton would get the support of 256 super delegates, against 225 for Barack Obama. Admittedly, this does not guarantee an Obama victory, as most of the super-delegates who have endorsed him did so after his repeated victories. And one wonders if he can repeat that feat in the remaining primaries.
The undecided super delegates, about 315 out of the total 795, are awaiting the results of the next elections before making a final decision. Hence the crucial issue of the next primaries, particularly Pennsylvania, which takes place on April 22.
However, recent rumors about the difficulties faced by the former First Lady are spreading. With more than 150 delegates recently backing Barack Obama, and with only a dozen states left, her chances of turning the tide are shrinking every day.
To succeed, she must win by outstanding margins in these last elections and convince the vast majority of the undecided super-delegates to vote for her, which seems unlikely, though mathematically possible.
Given her limited chances, should she give it up? For sure, she will wait to see the ballots in Pennsylvania. But advisors think her best shot is as Obama’s Vice President, rather than failing and becoming increasingly unpopular.
Et si Hillary Clinton arrêtait sa course à la Maison Blanche
Par Matshi
Hillary Clinton, candidate à l’investiture du parti démocrate pour l’élection présidentielle de novembre était partie trop tôt et trop vite en campagne. Du coup, elle bénéficiait des faveurs de pronostics face à ses adversaires, notamment Barak Obama, dont personne ne soupçonnait la montée. Presque à la fin de la course, l’ex-Première dame américaine est exténuée. Défaites sur défaites aux primaires et caucus, démissions des conseillers et fuite des super-délégués. Doit-elle continuait la course face à la montée fulgurante de son adversaire Barack Obama, ou simplement jeter l’éponge ?
Les dés semblent jetés, même si cela ne l’est pas encore totalement, pour la sénatrice de New York et ex-Première dame américaine Hillary Clinton dans ses ambitions pour la Maison Blanche. Elle s’était lancée avant la lettre dans la campagne pour l’investiture de son parti démocratique, bien avant que les autres candidats du parti de l’âne ne se soient pas prononcés.
Si quelques uns des électeurs ne lui donnaient pas la chance de réussir, d’autres n’avaient pas hésité à voir en elle la première dame présidente des Etats-Unis pour lui accorder leurs voix aux primaires et caucus du parti. Ce qui explique ses premiers succès, mais éphémères.
Aujourd’hui, au-delà de la mi-chemin de la campagne, les espoirs de voir Hillary Clinton d’être investie par le parti démocrate, deviennent de plus en plus minces.
Pour preuve, les chiffres publiés vendredi par la chaîne NBC sur les avancées de deux prétendants à l’investiture démocrate, Hillary Clinton et Barack Obama. Selon ces chiffres, Barack Obama, qui était très loin derrière l’ex-Première dame, notamment en nombre de super-délégués, se rapprocherait très nettement de cette dernière, au point que l’écart, qui était hier de quelque centaines, est réduit à deux dizaines seulement.
Ainsi, au dernier comptage, Hillary Clinton obtiendrait le soutien de 256 super délégués contre 225 pour Barack Obama. Certes, dit-on, il ne faudrait pas tout de suite crier à la victoire d’Obama, car la plupart de super-délégués qui se sont prononcés pour lui, ne l’ont fait qu’après ses victoires successives. Et l’on se demande s’il pourrait rééditer l’exploit pour le reste des primaires.
D’autant que les derniers super délégués indécis, soit 315 super-délégués sur les 795 que compte le parti démocrate, attendent les résultats des prochains scrutins pour se prononcer définitivement. D’où l’enjeu crucial de prochaines primaires, notamment celle de Pennsylvanie qui se déroulera le 22 avril, et dont Hillary devra nécessairement gagner. Ce qui n’est pas certain.
Car, ces derniers temps, les rumeurs vont bon train sur les difficultés rencontrées par l’ancienne First-lady dans les primaires démocrates. Avec plus de 150 délégués de retard sur Barack Obama, et alors qu’il ne reste plus qu’une dizaine d’Etats à s’exprimer, ses chances de renverser la vapeur se réduisent chaque jour.
Elle est donc obligée de faire des scores exceptionnels dans les derniers scrutins et convaincre la grande majorité des super-délégués encore indécis, ce qui semble également improbable, même si mathématiquement, cela est encore possible.
Vu ses maigres chances doit-elle jeter l’éponge ? Pour certains, il faut attendre les scrutins de Pennsylvanie. Mais les stratagèmes estiment qu’elle gagnerait en devançant l’échec et en se ralliant à Obama pour la vice-présidence, plutôt que d’affronter un échec qui la rendrait davantage impopulaire.
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Cobalt mines in the DRC were initially developed by U.S. capital in the 20th century. However, China’s persistent effort to expand its influence in Africa in the 21st century has allowed it to overpower the U.S. and gain control of the industry.
Yes, ISIS has carried out beheadings... But so has the Kingdom of Saudi Arabia, whose princes walk hand in hand, sometimes literally, with American presidents.