The CEO of Microsoft, Steve Ballmer, Sings the Marseillaise

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Quand le patron de Microsoft Steve Ballmer chante la Marseillaise

Steve Ballmer (à gauche) et tous les membres du jury étaient réunis pour la photo d’adieu autour des gagnants du concours

La scène est surréaliste et elle doit beaucoup au talent du chroniqueur David Abiker. La semaine dernière, Steve Ballmer était à Paris pour annoncer le lancement de Windows Phone 7, qu’il a, depuis, précisé. En France, quatre appareils seront équipés de ce nouveau système d’exploitation : le LG Optimus 7, le Samsung Omnia 7, et les HTC Mozart 7 et Trophy 7 (nouveau chiffre porte-bonheur de Microsoft ?) Ils seront en vente à partir du 21 octobre avec des prix qui varieront entre 29 euros et 149 euros en fonction des forfaits retenus chez Orange, SFR et Bouygues Telecom.

Or, le 7 octobre, à l’occasion de la visite de son patron au siège français d’Issy-Les-Moulineaux, la firme de Bill Gates avait eu la bonne idée d’organiser un concours d’applications mobiles, lors duquel des start-up françaises devaient présenter leur projet, sur un mode Star Academy. Les membres du jury, qui dans leur quotidien sont au contact de la création de nombreux projets, devaient indiquer, en bipant sur un bouton vert ou rouge, s’ils croyaient, ou non, au projet.

Xavier Niel (Free), Marc Simoncini (Meetic, Jaïna), Jacques-Antoine Grangeon (vente-privee.com), Bruno Vanryb (Avanquest), Pierre-Olivier Carles (Kipost, Labotec), Jean-Marie Culpin (Orange), Julien Codorniou (Microsoft) étaient de la partie tout comme… Steve Ballmer, plus en forme que jamais. À l’issue d’une présentation du projet, il a notamment réitéré son cri de guerre “Windows, Windows, Windows”.

Or, qu’a réussi David Abiker ? Avant de quitter l’estrade, alors que tous les membres du jury étaient réunis pour la photo d’adieu autour des gagnants du concours – à l’origine d’un jeu sur mobile plutôt bien fait et baptisé Arcane’s Tower Defense -, l’animateur a lancé : “Et si on chantait la Marseillaise ?” Abiker a alors entonné l’hymne français, allant jusqu’à lever au ciel le poing de Ballmer, hilare. Ce dernier, beau joueur, est resté sur l’estrade jusqu’à la fin de l’hymne.

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