This morning, on The Wall Street Journal’s website, there was a live video of Americans coming and going in a shopping mall, arms filled with packages. It goes to show how our neighbor’s buying habits are put under a magnifying glass on this day, Black Friday.
Many would like the Americans, big spenders who fueled the world economy for a long time, to rediscover their bad habits of consumption.
But, as this Wall Street Journal analysis reveals, the behavior of Americans has changed profoundly since 2009.
When Americans spend money, they are more susceptible to buying goods like a smartphone, clothing or even a car rather than going out to a restaurant or going to the salon for a manicure.
It is, it seems, normal that consumer spending on goods is bouncing back faster than spending on services, but the buying habits of Americans are still marked by the economic crisis, two years after the official end of the recession in the United States at the end of spring 2009.
Since the second trimester of 2009, the sale of goods has risen by 9.1 percent (adjusted for inflation). The newspaper did the analysis based on facts provided by the United States Department of Commerce. However, consumer spending on discretionary services has only risen 2.8 percent during the same period.
Now, services play an important role in the creation of jobs. Services represent nearly half of the United States’ gross domestic product and more than half of jobs, notes Alan Krueger, Chairman of the President’s Council of Economic Advisers.
Also, as much as Americans put off their haircut or repairing their car, the United States won’t get out of this difficult situation.
Mais qu’achètent les Américains au juste?
Sur le site du Wall Street Journal, ce matin, on peut voir en direct des Américains qui vont et viennent dans un centre commercial, les bras emplis de paquets. C’est dire comment les habitudes d’achat de nos voisins sont scrutées à la loupe en ce jour du Black Friday.
Plusieurs aimeraient que les Américains, de grands dépensiers qui ont longtemps porté l’économie mondiale à bout de bras, retrouvent leurs mauvaises habitudes de consommation.
Mais, comme le révèle cette analyse pertinente du Wall Street Journal, les comportements des Américains ont changé de façon profonde depuis 2009.
Lorsque les Américains consomment, ils sont plus susceptibles de se procurer des biens, comme un téléphone intelligent, un vêtement ou même une voiture, plutôt que de sortir au restaurant ou d’aller chez l’esthéticienne pour se faire manucurer les mains.
Il est semble-t-il normal que les dépenses pour les biens rebondissent plus rapidement que les dépenses dans les services. Mais les habitudes d’achat des Américains sont encore marquées par la crise économique, deux années après la fin officielle de la récession aux États-Unis, à la fin du printemps 2009.
Depuis le deuxième trimestre de 2009, les ventes de biens ont progressé de 9,1% (ajustées pour l’inflation), a analysé ce quotidien à partir des données fournies par le ministère du Commerce des États-Unis. En comparaison, les dépenses de services discrétionnaires ont progressé de seulement 2,8% au cours de la même période.
Or, les services jouent un rôle important dans la création d’emploi. Les services représentent près de la moitié du produit intérieur brut des États-Unis et plus de la moitié des emplois, observe Alan Krueger, président du Conseil des conseillers économiques du président.
Aussi, tant que les Américains reportent leur coupe de cheveux ou la réparation de leur voiture, les États-Unis ne seront pas tirés d’embarras.
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