How ungrateful these Republican representatives are! Wall Street spent millions of dollars to finance their campaigns, ensuring their election, and look how they are repaid. They are out of bounds! The fury of the financial world is such that some organizations representing the industry are threatening to bankroll campaigns opposing those who created this absurd and abusive governmental paralysis.
Last Wednesday, Republicans undoubtedly got the message from the organization that represents this industry. David French, the chief lobbyist for the National Retail Federation, threatened on Wednesday: “We are looking at ways to counter the rise of an ideological brand of conservatism that, for lack of a better word, is more anti-establishment than it has been in the past. We have come to the conclusion that sitting on the sidelines is not good enough.”
The current crisis, the kidnapping of the American government by elected officials close to the tea party, and the weakness of the Republican hierarchy could create a schism between the business world and the GOP. For a long time, their interests converged, for example on subjects like taxes and deregulation, but since the start of the shutdown, we are starting to see fracture lines. For instance, the business community favors a liberal immigration law, while those who shut the government down are very hostile on that point. All parties have extremists, said Joe Echevarria, the CEO of Deloitte, the large accounting and consulting firm, but “[t]he extreme right has 90 seats in the House. Occupy Wall Street has no seats.”
The U.S. Chamber of Commerce spent more than $32 million to support Republicans in the 2012 elections. Similarly, the American Bankers Association poured 80 percent of its funds into Republican candidates. In 2008, the percentage was only 58 percent.
But the most extreme elements in the House GOP do not care about offending the business world. The extremists only hear their own voices. The new constituencies that the GOP has gained with Wall Street’s money have created an uncontrollable monster: The districts are drawn to ensure the Republicans’ firm grip. It has become nearly impossible to unseat the furthest-right-leaning elected officials, which diminishes the power of the business world to influence elections in those districts.
Wall Street menace le Tea Party de représailles
Quels ingrats, ces Représentants Républicains: Wall Street débourse des millions de dollars pour financer leurs campagnes, assurer leur élection, et voilà qu'ils s'en affranchissent. Un comble ! La fureur du monde de la finance est telle que certaines organisations représentants cette industrie menacent de financer les campagnes d'opposants à ceux qui ont déclenché cette paralysie absurde et abusive du gouvernement.
Mercredi dernier, les Républicains ont sans doute compris le message de l'organisation qui représente la distribution. David Fench, le principal lobbyist pour la National Retail Federation, a menacé mercredi: "Nous cherchons un moyen de contrer la montée en puissance d'une variété très idéologique de conservatisme qui est plus anti-establishment que jamais. Nous en sommes arrivés à la conclusion qu'on ne pouvait plus de rester sur la touche."
La crise actuelle et la prise en otage du gouvernement américains par les élus proches du Tea Party et la faiblesse de la hiérarchie Républicaine, pourrait créer un schisme entre le monde des affaires et le GOP. Longtemps, leurs intérêts ont convergé sur des sujets comme les impôts, la dérégulation, par exemple, mais depuis le début du shutdown, on commence à apercevoir des lignes de fracture: Par exemple, le milieu des affaires est favorable à une loi généreuse sur l'immigration, tandis que les mêmes qui ont fermé le gouvernement y sont très hostiles. Tous les partis ont des extrémistes, faisait récemment remarquer Joe Echevarria, le PDG de Deloitte, le grand cabinet d'audit et de conseil, "mais l'extrême droite a 90 sièges à la Chambre, tandis qu'Occupy Wall Street en n'a aucun."
La Chambre de Commerce des Etats-Unis a dépensé plus de 32 millions de dollars pour soutenir des Républicains lors de l'élection de 2012. De la même manière, l'American Bankers Association a versé 80% de ses fonds à des candidats Républicains. En 2008, le pourcentage n'était que de 58%.
Mais les éléments les plus extrémistes du GOP à la Chambre, se soucient guère de déplaire au monde des affaires. Les extrémistes n'entendent que leur propre voix. Et les nouvelles circonscriptions qui ont été découpées par le GOP avec l'aide de l'argent de Wall Street, ont créé un monstre incontrôlable: des circonscriptions taillées sur mesure pour assurer la main mise des Républicains. Il est devenu presque impossible de déloger les élus les plus à droite, ce qui diminue le pouvoir du monde des affaires sur le résultat des élections dans ces districts.
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