Republicans dispute many aspects of mail-in voting in key states, paving the way for a disagreement over the result on Nov. 5.
Although America is three weeks away from choosing a new president, mail-in voting is already causing tension on both sides. Nov. 5 is officially the last day that votes can be cast, but the reality is that millions will have already cast their votes through mail-in voting or by voting early. In 2020, Donald Trump didn’t hesitate to label this kind of voting, which soared in popularity due to the pandemic, as “election fraud.”
The Republican candidate has since toned it down, but again this year there is a wave of lawsuits paving the way for a dispute against the final result. Unsurprisingly, this is happening in the famous swing states, which are likely to sway the vote — and which are most likely to vote early. Unsealed envelopes, incorrect postmarks, forged signatures and later corrections: There will be countless accusations. Nevada, for example, allows all ballots to be counted as long as they are received no later than four days after Election Day, yet another interesting practice that adds fuel to the fire.
It can be hoped that if the Democrats lose, they will accept the outcome. But nothing is less certain on the Republican side, where the prospect of another assault on the Capitol still haunts minds. There is no doubt that mail-in voting will be called into question, as well as voting machines at polling sites in some states, which recently appeared in the news again.
At a famous hacker convention in Las Vegas, America’s top hacker found flaws in the system that couldn’t be repaired before Nov. 5. In a time of end-of-campaign gloom, perhaps this is too much bad news.
Voter, mais comment?
Les Républicains contestent de nombreux aspects du vote par correspondance dans les États clés, ouvrant la voie à une contestation du résultat le 5 novembre.
Alors que l’Amérique est à trois semaines de se choisir un nouveau président, le vote par correspondance crispe déjà les deux camps. Si le 5 novembre est officiellement le dernier jour où les électeurs iront voter, des millions d’entre eux l’auront en réalité déjà fait dans le cadre du vote par correspondance ou du vote anticipé. En 2020, Donald Trump n’avait pas hésité à taxer de «fraude électorale» ce type de vote qui avait explosé en raison de la pandémie.
Le candidat républicain a certes mis de l’eau dans son vin depuis, mais cette année encore, une vague de poursuites judiciaires ouvre la voie à une contestation du résultat final. Sans surprise, elles se cristallisent dans les fameux Swing States susceptibles de faire pencher le scrutin… et qui sont champions du vote anticipé. Enveloppes mal scellées, mal oblitérées, fausses signatures, corrections après coup. Les griefs sont nombreux. Le Nevada autorise par exemple le décompte des bulletins s'ils sont reçus jusqu'à quatre jours ouvrables après le jour du scrutin. Une énième curieuse pratique qui rajoute de l’huile sur le feu.
On peut espérer que si les Démocrates perdent, ils accepteront l’issue du scrutin. Rien n’est moins sûr côté Républicains, où le spectre d’un nouvel assaut du Capitole hante encore les esprits. Nul doute que le vote par correspondance sera remis en cause, tout comme les machines à voter dans les bureaux de vote de certains États, qui ont refait parler d’elles récemment. Lors d’une célèbre convention de pirates informatiques à Las Vegas, les meilleurs hackers américains ont trouvé des failles dans le système qui ne pourront pas être réparées avant le 5 novembre. Dans un climat de fin de campagne délétère, c’est peut-être la mauvaise nouvelle de trop.
This post appeared on the front page as a direct link to the original article with the above link
.
These costly U.S. attacks failed to achieve their goals, but were conducted in order to inflict a blow against Yemen, for daring to challenge the Israelis.