The Arab countries are awakening by strange coincidence. The countries of the West, and at their head, the American diplomatic machine whose tentacles stretch far and wide, have not stopped being “preoccupied” by events occurring very far from their borders. One of our adages says it well: “The hen lays the eggs and it hurts the cock’s ass.” Proof: the jerks that are hosted almost daily on pro-Zionist television stations. According to the diplomats that are aiding the Palestinian genocide in all its forms and who, out of cowardice, want to squelch out the Palestinians, seem worried by the market freedom they want to “impose” on the Arab people, as if they were “natives,” savages incapable of thought or responsibility. As such, and with this new politic, the West has trapped itself by its own contradictions. Their discourse is “pro-democratic,” but their strategic interests are to support Israel.
Now, Zionism has never been compatible with democracy. Even while calling for the installation of a democratic regime in Egypt, they want to block certain political parties that they know represent majorities of Egyptian public opinion. In real terms, it’s about blocking the Muslim Brotherhood, because if they were to come to power, they would open the prison in Gaza. They would let the 1.5 million imprisoned Palestinians circulate freely and would also allow all Palestinians to arm themselves in order to revolt. In addition, the United States, the conductor who wants to impose its “eye for an eye” mentality on the Arab-Muslim world, faces the possibility of more of the sort of uprising that has already occurred; now, its support of Israel does not fall in line with its strategic interests. It would be completely counterproductive for the country. What it does favor, on the other hand, are the strategic interests of the criminal, Zionist mafia that now dominates Israel and the United States (that is to say the little, punk Jewish state and the big one).
Before Zionism takes integral hold of their foreign, military, financial, economic, cultural and any other policy, the United States should follow its own imperial strategy, in which the Arab and Muslim countries merely play a secondary role. Now, it is an attempt to change what seems like a monotonous landscape. New heads for a new era; a Hollywood setting, without soul, without style, the uniform of the “new deterior-ocracy” for all.
The Arab revolutions have done well in terms of media, since you can speak of slogans that are “unexpected, spontaneous, products of the peoples’ anger against their dictators, against tyranny, against misery, for a true democracy, for the reduction of inequalities.” All this is being achieved with army orders. And at the same time, other revolutions are getting started in the wake — totally artificially, fruits not of the people against the intolerable, but of the volition of the New World Order to change all the regimes to its benefit and to the benefit of its multinationals and its financiers. So, against the interest of the people! And yes, that’s the way of life that the Anglo-Saxons insidiously, underhandedly propose through their media stooges.
Cercle vicieux
Les pays arabes «se réveillent» sous l’impulsion d’un drôle de hasard. Les Occidentaux, et à leur tête la diplomatie américaine qui déroule ses tentacules au four et au moulin, n’arrêtent pas d’être «préoccupés» par des événements très loin de leurs frontières.
Les pays arabes «se réveillent» sous l’impulsion d’un drôle de hasard. Les Occidentaux, et à leur tête la diplomatie américaine qui déroule ses tentacules au four et au moulin, n’arrêtent pas d’être «préoccupés» par des événements très loin de leurs frontières. Comme dit un adage bien de chez nous, que nous «euphémiserons» bien sûr : «La poule pond et le coq souffre du c…». Preuves à l’appui, ces halkat qu’on anime presque quotidiennement sur ces plateaux de télévision pro-sionistes. Quant aux diplomates, qui assistent au génocide sous toutes ses formes du peuple palestinien et qu’ils taisent par lâcheté, ils semblent soucieux de cette démocratie de marché qu’ils veulent «imposer» aux peuples arabes. Comme si ces derniers étaient des «indigènes», des sauvages in capables de penser ou se prendre en charge. Ainsi, et avec cette nouvelle politique, les Occidentaux sont pris au piège de leurs contradictions. Leur discours, c'est d'être pour «la démocratie» ; leurs intérêts stratégiques, c'est de soutenir Israël. Or, le sionisme n'a jamais été compatible avec la démocratie. Tout en appelant à l'installation d'un régime démocratique en Egypte, ils veulent faire barrage à certains partis politiques qu'ils savent majoritaires dans l'opinion publique égyptienne. Concrètement, il s'agit de faire barrage aux Frères musulmans, parce que si ceux-ci venaient au pouvoir, ils ouvriraient la prison de Ghaza. Ils laisseraient le million et demi de Palestiniens enfermés circuler librement, et permettraient aussi aux Palestiniens de s'armer pour pouvoir se révolter. Par ailleurs, le chef d’orchestre, qui veut imposer son talion au monde arabo-musulman, en l’occurrence, les Etats-Unis, risque de subir le sort de l’arroseur arrosé, et ce, du moment que son soutien à Israël ne favorise pas ses intérêts stratégiques. Il serait complètement contre-productif pour ce pays. Ce qu'il favorise, en revanche, ce sont les intérêts stratégiques de la mafia criminelle sioniste qui domine à la fois Israël et les Etats-Unis (c'est-à-dire le petit Etat voyou juif et le grand). Avant que le sionisme ne s'empare intégralement de leur politique étrangère, militaire, financière, économique, culturelle et autre, les USA suivaient leur propre stratégie impériale ; les pays arabes et musulmans n'y jouaient qu'un rôle secondaire. Maintenant, on cherche à remodeler le paysage qui semble monotone. De nouvelles têtes pour une nouvelle ère… Un décor hollywoodien, sans âme, sans style, l'uniforme de la «nouvelle détério-cratie» pour tous. Les révolutions arabes ont été bien entretenues médiatiquement parlant, puisqu’on parle de slogans «inattendus, spontanés, fruits de la colère des peuples contre les dictateurs, contre la tyrannie, contre la misère, pour une démocratie véritable, pour la réduction des inégalités», et ce, pour mieux les récupérer via l'armée aux ordres. Et parallèlement, d'autres révolutions se préparent, dans la foulée, totalement artificielles, fruits non de la colère des peuples contre l'intolérable, mais de la volonté du Nouvel Ordre mondial de changer tous les régimes à son profit, au profit de ses multinationales et de ses financiers. Donc contre l'intérêt des peuples ! Eh oui, c'est le mode de vie que proposent les Anglo-Saxons, insidieusement, sournoisement, à travers leurs laquais dans les médias. C. A.
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The economic liberalism that the world took for granted has given way to the White House’s attempt to gain sectarian control over institutions, as well as government intervention into private companies,