Today is Aug. 4, and Barack Obama turns 50 years old. For his birthday, he went to be pampered in his beloved city of Chicago. The mayor there is Rahm Emanuel, former White House chief of staff, whose position was taken by Bill Daley, brother of the former Chicago mayor. Are you following? Is the president looking for some affection?
Chicago is also the city where Obama’s wife, Michelle, was born and where they met during a legal internship he did at Sidley Austin, where Michelle was working. This is also the location of his 2012 campaign headquarters. For the first time, an American president has separated his activities as a president from those as a presidential candidate.
For the sake of their 2012 candidate, Chicago organized fundraising evenings at the Aragon Ballroom which netted $3.6 million. The events included a concert with seats costing $50 (like his birthday number), for those who love music and his candidacy. Obama continues to lead the race for money collection for the 2012 campaign; in fact, the mirage of $1 billion is still in sight.
Chicago is a place of relief for Obama's weary heart after weeks of difficult negotiations surrounding the debt ceiling. He should see Congress's vote with optimism — a gift for his half-century birthday. He had to make compromises on economic weapons that were opportunities for boosting employment. The dream is being nibbled away, more and more — today, the unemployment rate is still 9.2 percent.
However, Chicago has a downside. Republican candidate Mitt Romney insidiously offered Obama a video clip: It is Chicago's night of triumph in the 2008 campaign, and we hear Obama's promises in the charged atmosphere of Grant Park. The text reads, “Obama Isn’t Working.” This is no campaign gift.
Obama "réfugié" à Chicago pour ses 50 ans ?
Par Véronique Saint-Geours le 4 août 2011 10h15 | 13 Commentaires
On le saura: Barack Obama est du 4 août et il a 50 ans, là, aujourd'hui. Et pour son anniversaire, il est allé se faire chouchouter dans sa chère ville de Chicago dont le maire est son ancien directeur de cabinet, Rahm Emmanuel remplacé à son poste de la Maison Blanche par Bill Daley, frère du précédent maire de Chicago, vous suivez toujours... Besoin d'affection Potus?
110803_obama_emanuel_ap_605.jpg Photo politico
C'est aussi la ville où est née Michelle sa femme et celle de leur rencontre à l'occasion d'un stage d'avocat dans le cabinet Sidley Austin où Michelle travaillait déjà. C'est là aussi, qu'est le P.C. de campagne de sa campagne 2012. Pour la première fois, un président américain a séparé son activité de président en cours de celle de candidat.
Et Chicago a organisé pour le candidat 2012 des soirées de fundraising avec couvert à 37,500 dollars à l'Arago Ballroom. Mais aussi un concert avec places à 50 dollars comme son chiffre anniversaire pour ceux qui aiment la musique et sa candidature. De quoi continuer la course en tête des récolteurs d'argent pour la campagne 2012, le mirage du milliard toujours en vue.
Chicago, baume au coeur d'Obama, très petite mine, après des semaines éprouvantes de négociations à Washington sur le plafond de la dette. Il lui faudra beaucoup d'optimisme pour voir dans le vote du Congrès un cadeau pour son demi siècle. Tant il a dû faire de compromis sur des armes économiques qui étaient des chances pour la relance de l'emploi. Le rêve est de plus en plus grignoté. Aujourd'hui le chômage est toujours à 9,2%.
Une ombre au tableau de Chicago. Le clip télé Chicago que le candidat Républicain Mitt Romney lui offre insidieusement. On est le soir du triomphe de Chicago pour la campagne 2008 et on entend les promesses d'Obama dans l'atmosphère électrisée de Grant Park. La voix off et le texte disent: Obama ça ne marche pas. Pas de cadeau pendant une campagne!
This post appeared on the front page as a direct link to the original article with the above link
.
The madness lies in asserting something ... contrary to all evidence and intelligence. The method is doing it again and again, relentlessly, at full volume ... This is how Trump became president twice.
It wouldn’t have cost Trump anything to show a clear intent to deter in a strategically crucial moment; it wouldn’t even have undermined his efforts in Ukraine.