Jodi Kantor's book, "The Obamas," does not seem to reveal unbearably juicy details about the White House. The pages chime out often-read anecdotes from the past three years provoking, above all, tired comments from former or current collaborators of the 44th administration such as Robert Gibbs, former White House spokesperson or Valerie Jarrett, friend and advisor of the Obamas. Yet again it's the occasion for “snake” Rush Limbaugh, the radio host, to give free rein to his conspiracy theories and usual racism toward the Obamas and to harp on a small omission by the Obama administration concerning the two celebrity guests of Halloween 2009!
The Daily Beast tries hard to rejoin and give relief to the incident of the “Alice in Wonderland” themed party thrown for Halloween 2009. With Tim Burton directing and Johnny Depp as the Mad Hatter, where is the mistake? Surely not in the casting. No, but imagine that the names of the two stars didn't appear on the guest list that was released by the White House. It's irregular and surely not completely innocent. Lying by omission is lying, and in the U.S., lying by the White House is unforgiveable. With the Obamas having, without a doubt, realized that this dear party was a little extravagant during the financial crisis, why did the press not reveal the names of the stars at the time? Were they under a spell? An early indulgence? Only one newspaper from Tennessee reported it and it was on a Johnny Depp fan site... To say that the White House — and therefore the Obamas — lied is a small step for Rush Limbaugh.
Never running out of pure spite and conspiracy theories, he fulminates against the media which have "covered up" this lack of communication by the idea that if the media kept quiet about this, what else will they lie about while covering the Obamas? He finishes with the usual racist bite about the Obamas’ philosophy. Thus "they live high on the hog” — you would think they were — "owed this because of what's been done to us and our ancestors." No comment.
Le livre de Jodi Kantor "The Obamas" n'a pas l'air de révéler sur les occupants de la Maison Blanche d'insoutenables et croustillants secrets. Les bonnes feuilles égrennent des anecdotes souvent lues depuis trois ans, et provoquent surtout les commentaires las d'anciens ou d'actuels collaborateurs de 44th comme Robert Gibbs, ancien porte parole de la maison Blanche ou Valerie Jarrett conseillère et amie du couple Obama. Pourtant une nouvelle fois c'est l'occasion pour Rush Limbaugh, la vipère radiophonique, de donner libre cours à son syndrome de la conspiration et à son racisme ordinaire à l'égard des Obamas. En revenant sur un petit oubli des Obamas concernant deux invités stars d'Halloween 2009!
Le Daily Beast essaie bien de rebondir et de donner du relief à l'épisode de la Fête donnée pour Halloween 2009 sur le thème d'Alice au Pays des Merveilles. Avec Tim Burton en scénographe et Johny Depp en Mad Hatter. Où est l'erreur? Sûrement pas dans le casting. Non mais imaginez que le nom ded deux stars n'a pas figuré sur le registre des entrées, sorties et invités de la Maison Blanche. C'est irrégulier et sûrement pas tout à fait innocent. Mentir par omission c'est mentir et aux USA, mentir à la Maison Blanche est impardonnable. Les Obamas ayant sans doute réalisé que cette fête chère était un peu dispendieuse pendant la crise. Pourquoi la presse n'avait-elle pas révélé le nom des stars en temps réel? Sous le charme? Indulgente pour les débuts? Seul un journal du Tennessee en a parlé et c'était sur le site web des fans de Johny Depp... De là à dire que la Maison Blanche- et donc les Obamas- a menti c'est un tout petit pas pour Rush Limbaugh.
Jamais en panne de méchanceté et de théorie de conspiration, il fulmine contre les media qui ont "couvert" cette absence de communication sur le thème: si les media se taisent là-dessus, sur quoi mentent-ils en couvrant les Obamas? Et de terminer par une morsure raciste bien à sa façon attribuant aux Obamas sa propre philosophie à leur égard. Ainsi "ils vivraient sur la bête et- penseraient- que cela leur était bien dû étant donné tout ce qu'on leur avait fait à eux et leurs ancêtres." No comment.
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