Tomas J. Philipson, Donald Trump’s chief economist, states that the trade wars led by the American president last year had a negative impact on companies’ investments, so much that it contributed to slowing down the country's economic growth.
The White House has finally admitted that Donald Trump’s trade wars were detrimental to the economy. The decreased economic growth in America last year was at least partly due to the trade wars led by Trump – they affected companies’ investments, said Tomas Philipson, the White House chief economist, on Thursday.
“Once we got renegotiation of trade agreements, we saw uncertainty in the market, and investment took a hit,” reported Philipson at a press conference on the Council of Economic Advisers’ annual economic report.
1% Reduction of Gross Domestic Product?
To encourage American manufacturing, Trump last year started a protectionist policy that notably led to a trade war against Beijing, as the two countries imposed new customs taxes on each other. The American president also imposed taxes on European steel and aluminum, which prompted Europe to take a series of retaliatory measures against U.S. imports.
The American leader said repeatedly that his tariff strategies replenished the government's fiscal coffers and did not harm the economy in any way. However, U.S. economic growth did slow down along the way, from 2.9% in 2018 to 2.3% in 2019.
Philipson refrained from clarifying to what extent the commercial uncertainty due to these strategies participated in slower economic growth. But the Swedish-born economist referred the reporters to a study done by the Federal Reserve that suggests the trade war climate could have reduced American and global GDP growth by 1%.
La Maison Blanche admet que Trump a déprimé l'économie
Tomas J. Philipson, économiste en chef de Donald Trump, a déclaré que les batailles commerciales mondiales menées l'an dernier par le président américain avaient impacté l'investissement des entreprises, au point de participer à ralentir la croissance du pays.
La Maison Blanche a finalement admis que les politiques commerciales du président Donald Trump nuisaient à l'économie. Le ralentissement de la croissance américaine l'an dernier était, au moins en partie, dû aux batailles commerciales mondiales menées par Donald Trump qui a impacté l'investissement des entreprises, a déclaré jeudi le principal économiste de la Maison Blanche, Tomas Philipson.
« Une fois que nous avons renégocié les accords commerciaux, nous avons constaté de l'incertitude sur les marchés et les investissements en ont pris un coup », a déclaré Tomas Philipson lors d'une conférence de presse sur le rapport économique annuel du Council of Economic Advisers (CEA), le groupe d'économistes chargés de conseiller le président des Etats-Unis.
Impact de 1 % sur le PIB ?
Pour favoriser le secteur manufacturier américain, Donald Trump a lancé l'an dernier un programme protectionniste qui a notamment conduit à une guerre commerciale contre Pékin, les deux pays s'imposant mutuellement de nouvelles taxes douanières. Le président américain a également imposé des droits de douane contre l'acier et l'aluminium européens, ce qui a entraîné une volée de mesures de rétorsions européennes contre des importations des Etats-Unis.
Le dirigeant américain a maintes fois répété que ses stratégies tarifaires avaient renfloué les caisses fiscales du gouvernement et n'avaient en rien nui à l'économie. Le taux de croissance des Etats-Unis a pourtant ralenti en cours de route, passant de 2,9 % en 2018 à 2,3 % en 2019.
Tomas Philipson s'est abstenu de préciser dans quelle mesure l'incertitude commerciale générée avait participé à cette baisse de croissance. L'économiste suédois a cependant renvoyé les journalistes vers une étude de la Réserve fédérale suggérant que ce contexte de guerre commerciale pourrait avoir réduit la croissance des PIB américains et mondiaux de 1 %.
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It wouldn’t have cost Trump anything to show a clear intent to deter in a strategically crucial moment; it wouldn’t even have undermined his efforts in Ukraine.