For many Americans, the world of finance can be summarized in a single standard: the Dow Jones. This made for a somber moment when, for a few minutes on Friday, June 27, the New York Stock Exchange’s key index found itself 20% lower than its recent crests. This dip confirmed that the American Stock Market, in the long-term, is headed downhill.
Investors are worried. The market started to really give way after the dip in 2000, which was 3% higher than Friday's closing. Since the Internet bubble burst, the Dow Jones has performed 40% lower than the American gross domestic product. A long period with few results should not be surprising. After the stock market dip in 1966, it was almost two decades – and two-figure inflation rates – before American values regained ground.
More importantly, the Stock Exchange is no longer at the center of finance. Rather, credit is. The price of stocks has influence over industrial investments, household consumption, and economic development. But the cost and availability of debt is even more significant.
It is debt that investors should survey, not the Dow Jones, because it is there that there are reasons to worry. In 2007, the credit system and currency began to fall.
SHOCK
Credit for businesses and consumers, normally cheap and easily available, is no longer. On the other hand, raw material buyers can always borrow, pushing retail prices higher across the world. The result is a distressing mix of inflation and scarce credit. The financial system is wobbling and central banks are paralyzed.
The reversal of the credit market is a shock for stocks, with profits eroding, demand decreasing, and the costs of debt and raw materials rising.
This final chapter of the market’s dip, observed since 2000, may endure. If the recession slows inflation, stocks will suffer. But even if inflation stifles profits, stocks will still suffer.
Pour de nombreux Américains, le monde de la finance se résume à un seul étalon : le niveau du Dow Jones. Ce fut donc un bien sombre moment quand, pendant quelques minutes vendredi 27 juin, l'indice phare de la Bourse de New York s'est retrouvé 20 % plus bas que ses récents sommets. Surtout, ce vif repli a confirmé que les Bourses américaines, sur le long terme, sont orientées à la baisse.
Les investisseurs s'inquiètent. Car le marché a vraiment commencé à céder du terrain après le pic de 2000, qui se situe 3 % plus haut que la clôture de vendredi. Et depuis que la bulle Internet a éclaté, le Dow Jones a réalisé une performance de 40 % inférieure à celle du produit intérieur brut américain. Une période aussi longue de timides résultats ne devrait pas surprendre. Après le pic des marchés d'actions de 1966, il avait fallu près de deux décennies - et des inflations à deux chiffres - avant que les valeurs américaines retrouvent de nouveaux sommets.
Plus important, la Bourse n'est plus, aujourd'hui, au centre de la finance. C'est le crédit. Le prix des actions a de l'influence sur les investissements industriels, sur la consommation des ménages et sur la croissance économique. Mais le coût et la disponibilité de la dette sont encore plus significatifs pour tous ces éléments.
Aussi c'est la dette que les investisseurs devraient surveiller, et pas le Dow Jones. Car, là, il y a de quoi s'inquiéter. En 2007, la monnaie et le système de crédit ont basculé vers le bas.
CHOC
Les crédits aux entreprises et aux consommateurs, qui étaient habituellement bon marché et facilement disponibles, ne le sont plus maintenant. En revanche, les acheteurs de matières premières peuvent toujours emprunter - poussant à la hausse des prix de détail à travers le monde. Le résultat est un douloureux mélange de crédit plus rare et d'inflation. Le système financier chancelle et les banquiers centraux sont paralysés.
Le renversement du marché du crédit est un choc pour les actions, avec des profits rongés par une demande en baisse et des coûts d'endettement et de matières premières en hausse.
Ce dernier chapitre du marché baissier observé depuis 2000 pourrait durer. Si la récession ralentit l'inflation, les actions souffriront. Mais même si l'inflation étrangle les profits, les actions souffriront aussi.
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It wouldn’t have cost Trump anything to show a clear intent to deter in a strategically crucial moment; it wouldn’t even have undermined his efforts in Ukraine.
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