As for the sad saga of the "fiscal cliff," I'll be brief:
Barack Obama succeeded in convincing most Americans that the regulation of the deficit problem has succeeded in raising the taxes on the wealthy.
Naturally, in a country where the majority of people don't pay federal income taxes, the idea of raising someone else's taxes is brilliant and tempting.
Over the past five years Barack Obama has been asking for a raise in taxes on those households with annual incomes higher than $250,000. Republicans have conceded after having initially held back. A majority of Republicans accept raising taxes on annual incomes higher than $450,000 ($550,000 for couples).
Unfortunately, this fight is a diversion: The mounting revenue brought in by the tax hike on households with more than $250,000 is... $60 billion a year! A loss, when one remembers that there's $2.5 trillion in annual revenues and $3.8 trillion in debt.
The solution to the deficit is tax hikes on the middle class and a cut in funds to the most important programs: health care, Social Security and the Pentagon.
All the rest is just a smokescreen.
The middle class benefits the most from the deficit. Assuming that they can't touch their short-term interests in view of a deficit reduction guarantees that they won't find a solution to the deficit.
À propos du feuilleton triste du "précipice budgétaire", je fais très court:
Barack Obama a réussi à convaincre une majorité d'américains que le réglement du problème du déficit passait par une augmentation des impôts sur les riches.
Naturellement dans un pays où la moitié des gens ne payent pas d'impôt fédéral sur le revenu, l'idée d'augmenter les impôts des autres est une idée géniale et séduisante.
Depuis 5 ans Barack Obama demande d'augmenter les impôts des foyers aux revenus supérieurs à 250.000 dollars par an. Les républicains ont fini par lâcher sur ce point après avoir résisté. Une majorité de républicains accepte l'idée de relever les taxes sur les revenus supérieurs à 450.000 dollars (550.000 dollars pour les couples).
Hélas, ce combat est une diversion. Le montant de recettes dégagées par la hausse d'impôts des foyers de plus de 250.000 dollars est de....60 milliards de dollars par an ! Une misère, rapportée à 2500 milliards de dollars de recettes annuelles et 3800 milliards de dollars de dépenses.
La solution du déficit passe par des hausses d'impôts sur les classes moyennes et une maîtrise des dépenses dans les programmes les plus lourds: la santé, les retraites et le Pentagone.
Tout le reste n'est qu'écran de fumée.
Les classes moyennes sont les principales bénéficiaires du déficit. Partir du principe qu'il ne
faut pas toucher à leurs intérêts à court terme en vue de réduire le déficit, garantit qu'on ne trouvera pas la solution au déficit.
This post appeared on the front page as a direct link to the original article with the above link
.