They enrage Democrats and dishearten their Republican colleagues with their systematic obstruction — and they don't give a rat's ass about how others feel about it. Tea party politicians are on a crusade to shrink the state and are convinced that they're right. At the end of the day, they're a marginalized minority and they don't get a lot done. So you'd think they'd be frustrated and unhappy.
Not so.
In fact, according to rigorous surveys conducted by both left and right-leaning political scientists, 48 percent of Americans that call themselves extremely conservative also say they are extremely happy — the surveys' happiest respondents.
The other demographic that approaches this state of bliss? Extremely liberal Americans: 35 percent consider themselves extremely happy. This includes, of course, Americans that participated in the Occupy movements and those that are eternally disappointed by Democratic administrations' timid reforms.
A World in Black and White
These extremist Republicans and Democrats have one thing in common: a clearly-defined adversary. They live in a world where there are good guys and bad guys, and consider themselves extremely happy to be one of the good guys.
Moderate Americans don't have that luxury. They spend a lot of time trying to separate the wheat from the chaff in politics; at 26 percent, they're the least “extremely happy” Americans.
If you're a moderate and the extremism of a Republican senator like Ted Cruz angers you, don't forget that while you're seething, he's probably sipping a martini.
Ils enragent les démocrates et désespèrent des collègues républicains par leur obstruction systématique.
Mais ils n’en ont rien à cirer du mécontentement des autres.
Les politiciens du Tea Party sont en croisade pour réduire la taille de l’État.
Ils sont convaincus d’avoir raison.
Ils sont minoritaires, marginalisés, et, finalement, n’accomplissent pas grand chose.
On les imagine frustrés et malheureux.
Il n’en est rien.
En fait, selon des sondages effectués avec rigueur par des politologues de gauche et de droite, 48% des Américains qui se déclarent extrêmement conservateurs se disent aussi très heureux.
Il s’agit du groupe qui déclare son bonheur avec le plus d’enthousiasme.
L’autre segment le plus proche de ce bel état d’esprit ? : les Américains extrêmement libéraux.
Ils se considèrent très heureux dans une proportion de 35%.
On parle bien de ces Américains qui participent aux mouvements Occupy et de ceux qui sont éternellement déçus de la timidité des réformes des administrations démocrates.
UN MONDE EN NOIR ET BLANC
Ces extrémistes républicains et démocrates ont ceci un commun : ils ont clairement identifié leur adversaire.
Ils vivent dans un monde où il y a des bons et des méchants.
Ils s’estiment très heureux de se retrouver du bon côté.
Les Américains modérés n’ont pas ce luxe.
Ils passent beaucoup de temps à tenter de séparer la graine de l’ivraie dans ce qui se passe dans le monde.
Ils se retrouvent au bas de l’échelle des Américains très heureux à seulement 26%.
Si vous êtes un modéré et que l’extrémisme d’un sénateur républicain comme Ted Cruz vous fâche, n’oubliez pas que pendant que vous fulminez, il est peut-être en train de siroter un verre de martini.
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It wouldn’t have cost Trump anything to show a clear intent to deter in a strategically crucial moment; it wouldn’t even have undermined his efforts in Ukraine.