However much they've shrunk, going from three to two years after the imposition of new rules by the Canadian Radio-Television and Telecommunications Commission, contracts are still the big, unpopular thing in the world of cell phones.
For as long as I can remember, the mobile phone industry has used the following business model: They sell you a cell phone for a fraction of its actual cost in exchange for a service contract of a few years that allows the mobile operator to cover its costs. It's a little like the principle of discount printers subsidized by really expensive ink cartridges, with the exception that, in that case, the contract is implicit rather than signed.
For a long time, these contracts have included aberrations: exorbitant penalties in the case of termination by the user, unilateral changes by the provider, the impossibility of unlocking the device, etc.
Most of these problems have been taken care of and, however much we don’t like the idea of a contract, we must admit that they have an upside. It’s thanks to them that you can get an iPhone 6S with 64 GB for about $530, rather than for its full price of $1,055, to name just one model. Ultimately, you will end up paying the $1,055 no matter what, but we must admit that few people have both the financial means and the awareness to prefer the “full-price” option.
But south of the border, more and more, they’re starting to say goodbye to these contracts, which are even endangered, according to Ars Technica.
At the instigation mostly of the eccentric John Legere, president of T-Mobile, the American industry has seen some quite novel models appear in the last few years. The one that’s popular right now allows the user to get a new device every year or every other year in exchange for a fixed monthly cost. It’s a little bit like leasing a car.
The other is to pay straight up for the telephone at full price in exchange for greater freedom and, above all, a reduced monthly plan.
This last idea has made a small breakthrough on this side of the border, but it hasn’t seemed to be able to get off the ground. Will we see the first one soon?
Mobile : bye-bye contrats chez l’Oncle Sam
Ils ont beau avoir rétréci, passant de trois à deux ans après l’imposition par le CRTC de nouvelles règles, les contrats sont encore les grands mal-aimés du monde la téléphonie mobile.
Depuis aussi loin que je me souvienne, l’industrie du téléphone mobile fonctionne avec le modèle d’affaires suivant : on vous vend un appareil mobile pour une fraction de son coût réel, en échange d’un contrat de service de quelques années qui permet à l’opérateur mobile de recouvrer ses coûts. Un peu comme le principe des imprimantes à rabais subventionnées par des cartouches d’encre à fort prix, à l’exception que le contrat est dans ce cas implicite, plutôt que signé.
Ces contrats ont longtemps intégré des aberrations : pénalités abusives en cas de cessation par l’utilisateur, changements unilatéraux par le fournisseur, impossibilité de déverrouiller son appareil, etc.
La plupart des ces problèmes ont été réglés et on a beau ne pas aimer l’idée d’un contrat, force est d’admettre qu’ils ont un avantage. C’est grâce à eux si vous pouvez vous procurer un iPhone 6S de 64 Go pour environ 530$, plutôt que son plein prix de 1055$, pour ne nommer qu’un modèle. Ultimement, vous finirez par payer ces 1055$ de toute façon, mais force est d’admettre que peu de gens ont à la fois les moyens et les connaissances financières pour préférer l’option « plein prix ».
Or, voilà qu’au sud de la frontière, on commence de plus en plus à dire adieu à ces contrats, qui sont même en voie d’extinction, selon ce que rapporte Ars Technica.
Sous l’impulsion principalement de l’excentrique John Legere, président de T-Mobile, l’industrie américaine voit apparaître de nouveaux modèles assez originaux depuis quelques années. Celui qui a la cote, présentement, permet à l’utilisateur d’obtenir un nouvel appareil chaque année, ou aux deux ans, en échange d’un coût mensuel fixe. Ça rappelle un peu la location de voitures.
L’autre, c’est carrément de payer le téléphone au plein prix, en échange d’une plus grande liberté et, surtout, d’un forfait mensuel réduit.
Cette dernière idée a effectuée une petite percée de ce côté-ci de la frontière, mais elle ne semble pas décoller plus qu’il ne le faut. Verra-t-on la première bientôt?
P.S.: Pardonnez la longue interruption de ce blogue, j’étais en congé de paternité depuis le début novembre. Le rythme devrait revenir à la normale.
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