At this crucial moment when the global economy faces the risk of a “double dip,” certain Western media outlets and researchers have once again played the “China card,” to make it seem that the “remedy” of funding the crisis is in China’s hands. Such a practice is nothing new. These last years, each time that the global economy runs into difficulties, the West gets to talking, if not to accuse China of “having pushed the crisis” onto others, then to “flatter” China and ask it to handle the situation. These two ploys have but one goal: shirking responsibility.
The European debt crisis and the American debt crisis, which followed the financial crisis, have troubled the path of the global economy’s progress.
But it is not the global economy that is at the edge of a cliff; rather, it is Washington’s political clout. After the blow-up that was the American debt crisis, global public opinion suggested that Washington had fallen into a political trap, not an economic one. In fact, Washington faces not only an economic crisis but, above all, a political one. Remember that the European debt crisis, which preceded the American debt crisis, reflected, to a very great extent, the contradictions between the European countries and the political decisions of the European Union, as well as the contradictions between the different European countries’ policies. This time, Standard & Poor’s has lowered the sovereign credit rating of the United States. This is fairly explained by uncertainty about the United States’ political future.
As the political schedules of the United States and many other countries are about to enter a period of presidential elections, the forecasts for the political situations’ futures reveal themselves to be even more unstable. This has brought a heavy hit to the confidence of global investors in the global economy’s ability to rebound and has aggravated market volatility.
One cannot forget that during the 2008 financial crisis, China and the other emerging countries demonstrated their capacity to push ahead against the current. At a decisive moment, China launched a program meant to stimulate its domestic economy, playing an important role in helping to promote the restoration of the global economy. At the same time, China made active attempts to promote international cooperation.
If the United States and Europe will do nothing but pursue their own personal gains without assuming responsibility as developed countries, it could heavily affect the steady development of the global economy.
Facing the challenge of the global economy, the members of the international community have clearly increased their coordination. For example, the G-20, which was formed to face the global financial crisis, has today become a principal platform for international economic cooperation. As long as the Western countries do not shirk their responsibility and do strengthen coordination with other countries in developing a political plan, the global economy will surely meet a stable return and consistent development.
Les Etats-Unis et l'Europe devront assumer leur responsabilité politique pour la reprise de l'économie mondiale
A ce moment crucial où l'économie mondiale fait face à un risque de « double dip », certains médias et chercheurs occidentaux ont une fois de plus joué la « carte » de la Chine, il semble que le « remède » du règlement de la crise soit dans les mains de la Chine. Un tel procédé n'est pas nouveau. Ces dernières années, chaque fois que l'économie mondiale rencontre des difficultés, l'Occident s'est mis à parler, sinon pour accuser la Chine d' «avoir rejeté la crise » sur les autres, sinon pour « flatter » la Chine et lui demander de prendre la responsabilité. Ces deux jeux ne visent qu'un seul but, celui de se dérober à sa responsabilité.
La crise de la dette européenne et la crise de la dette américaine, qui sont survenues par la suite, ont troublé le pas de la progression de l'économie mondiale.
Mais ce n'est pas l'économie mondiale qui soit sur le bord de l'escarpement, c'est la politique de Washington qui est sur le bord de cet escarpement. Après l'éclatement de la crise de la dette américaine, l'opinion publique mondiale a estimé que Washington est tombé dans un piège politique, non dans un piège économique. En fait, Washington fait face non seulement à une crise économique, mais surtout à une crise politique. On se rappelle que la crise de la dette européenne, qui a précédé celle de la dette américaine, a reflété, dans une grande mesure, les contradictions entre les pays européens et les décisions politiques de l'Union européenne, ainsi que les contradictions entre la politique des différents pays européens. Cette fois-ci, l'agence Standard & Poor's a baissé la note souveraine des Etats-Unis. Ceci est également expliqué par une inquiétude sur les perspectives d'avenir politique des Etats-Unis.
Au fur et à mesure que le cycle politique des Etats-Unis et de plusieurs autres pays commencera bientôt à entrer en période des élections présidentielles, les perspectives d'avenir de la situation politique se révèlent encore plus instables. Ceci a également porté une grave atteinte à la confiance des investisseurs mondiaux dans la reprise de l'économie mondiales et a aggravé les agitations du marché.
On n'a pas oublié qu'au cours de la crise financière de 2008, la Chine et les autres pays émergents ont montré leur capacité à s'avancer à contre-courant. A un moment décisif, la Chine a lancé un programme destiné à stimuler l'économie intérieure, jouant un rôle important pour aider à promouvoir la reprise de l'économie mondiale. En même temps, la Chine a fait des efforts actifs pour promouvoir la coopération internationale.
Si les Etats-Unis et l'Europe ne faisaient que rechercher leurs propres gains personnels sans assumer la responsabilité, en tant que pays développés, cela pourrait gravement affecter le développement régulier de l'économie mondiale.
Face au défi de l'économie mondiale, les membres de la communauté internationale ont nettement renforcé leur coordination. Par exemple, le G 20, qui s'était formé pour faire face à la crise financière internationale, est devenu aujourd'hui une plate-forme principale de la coopération économique internationale. Tant que les pays occidentaux ne se dérobent pas à leur responsabilité et renforcent la coordination avec les pays en développement en matière de mesures politiques, l'économie mondiale connaîtra sûrement une reprise stable et un développement régulier.
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It wouldn’t have cost Trump anything to show a clear intent to deter in a strategically crucial moment; it wouldn’t even have undermined his efforts in Ukraine.
The economic liberalism that the world took for granted has given way to the White House’s attempt to gain sectarian control over institutions, as well as government intervention into private companies,
The erratic tariff policy pursued by the U.S. president and his administration has so far mainly served to strengthen ties between countries in the Global South and Beijing, and, where relevant, Moscow.