Employment figures were published on Friday, Oct. 9. They were an astonishing surprise for many commentators and a simple confirmation for us — essentially, what we have been talking about for many years.
The participation rate of the labor force went down from 62.6 to 62.4 percent — that is, the lowest number in 40 years — which means that 94.6 million people that should be working are currently unemployed.
Some cynics will brush off this reality by saying that it’s because of the people aged over 60 who do not want to work but are still recorded since there is no statutory retirement age. As usual, this salient argument does not hold much water.
A first glance of the participation rate by age group reveals that the figures are clear.
In 2007, the participation rate of those aged 25 to 54 was the highest (83.4 percent), while it has declined to 80.5 percent today. For those 55 and over, it increases by 1.75 points between 2007 and 2012, and by another point between 2012 and 2015. It simply means that since the financial meltdown, the entire post-2008 generation graduating from universities with considerable (student) debt could not find work, while the retired generation had to find work in order to make ends meet.
Every year, at the beginning of the year, central banks, global organizations, economists, strategists and politicians announce the economic growth and a low unemployment rate, but reality pushes back and systematically shows the opposite.
In 2014, 240,000 jobs were created per month in the U.S., 198,000 in 2015, but even with extreme good will, I find it hard to see the growth in these figures!
It is also interesting to analyze the quality of the jobs created, something that could give us an idea of the salaries they offer, as well as to reach conclusions about the growth potential of the gross domestic product, two-thirds of which, may I remind you, is made up of household consumption in Western countries.
Since January 2008, the U.S. economy has lost 1.4 million jobs in the industrial and manufacturing sector and has created 1.5 million bartending and waiting jobs, which are mainly precarious, part-time and low-paid.
Another point: Part-time employment has never been so high. Since November 2007, the U.S. economy has lost 822,000 full-time jobs and put 17.724 million people on a part-time employment cycle.
Last points to highlight on this report on September employment:
- The number of hours worked has decreased from 34.6 to 34.5 hours per week, and the weekly average wage has declined by 0.3 percent. Do you feel the U.S. economy picking up?!
- There was a downward shift in job creation in August (by 37,000) and July (by 22,000), followed by the meager September figure of 118,000 jobs created — an average of 167,000 against 231,000 in the three preceding months. Do you feel the acceleration … how overwhelming!
All figures are taken from the Bureau of Labor Statistics, ergo, an official source.
First of all, all these parameters imply that growth is not about to pick up and that the only readily verifiable acceleration is downward, and second, we are still in a deflationary cycle that is going to last.
We are in a similar situation to Japan, but ours is a lot more worrying since it is global, and for that, we can thank the most dangerous economic terrorist out there, Mr. Paul Krugman — winner of the Nobel Prize in Economics — whose good advice is being followed by all central bankers worldwide.
His recipe is simple, nay, simplistic, but mostly foolish: zero rates, printing money, limitless indebtedness.
The consequences of such monetary policy are genocidal, and you can blindly trust the incompetent politicians who rule us to smoothly manage the coming crisis.
We tried to warn you.
Alea jacta est. (The die is cast.)
Des chiffres sur l’emploi ont été publiés vendredi dernier. Véritable surprise pour beaucoup de commentateurs ils n’étaient que la simple confirmation de ce qu’on observe depuis plusieurs années pour nous.
Le taux de participation à la population active est passé de 62,6 à 62,4 % soit le chiffre le plus bas depuis 40 ans, cela veut dire que 94,6 M de personnes qui devraient travailler ne travaillent pas + 579 000 sur le seul mois de septembre.
Certains cyniques vont relativiser ce chiffre en disant que ce sont des personnes de plus de 60 ans qui ne veulent plus travailler et qui sont comptabilisées car il n’y a pas d’âge légal de départ à la retraite aux Etats Unis, mais comme d’habitude ce brillant commentaire ne tient pas la route.
Lorsqu’on prend le détail du taux de participation par classe d’âge, le constat est sans appel.
En 2007, le taux de participation des 25- 54 ans est au plus haut à 83,4%il est de 80,5% aujourd’hui, tandis que pour le segment 55 et plus il augmente de 1,75 pts entre 2007 et 2012 pour reperdre 1 pt entre 2012 et 2015. Ceci signifie que depuis la crise toute la génération qui sortait de l’université avec un niveau d’emprunt conséquent sur le dos ne trouvait pas de travail et que ce sont les retraités qui ont trouvés des emplois à temps partiels pour compléter leurs revenus.
Tous les ans, en début d’année, les banques centrales, les organismes internationaux, les économistes, les stratégistes, les politiques nous annoncent une accélération de la croissance et une baisse du chômage, force est de constater en fin d’année que la réalité est systématiquement à l’opposée.
En 2014 il y a eu 240 000 emplois créés par mois aux Etats Unis en 2015 198 000, même avec une extrême bonne volonté j’ai du mal à percevoir l’accélération dans ces chiffres !
Il est aussi intéressant d’analyser la qualité des emplois créés ce qui peut nous donner une idée des niveaux de salaires de ces emplois et ainsi juger du potentiel de croissance du PIB qui je vous le rappelle est dans les pays occidentaux aux 2/3 composé de la consommation des ménages.
Depuis janvier 2008, l’économie américaine a perdu 1,4 M d’emplois dans le secteur industriel et manufacturier et gagné 1,5 M d’emplois de barman et de serveurs qui sont des emplois souvent précaires, à temps partiels et mal payés.
Autre point, le travail à temps partiel n’a jamais été aussi élevé. Depuis novembre 2007 l’économie américaine a perdu 822 000 emplois à temps pleins et embauché 17,724 M personnes à temps partiel.
Derniers points a relever dans ce rapport sur l’emploi de septembre :
la baisse des heures travaillées qui passent de 34,6 à 34,5 heures par semaine et le salaire hebdomadaire moyen qui dans le même temps baisse de 0,3%. Vous sentez l’accélération !!!
Les révisions sur le mois d’aout et juillet respectivement de 37 000 et de 22 000 créations de moins pour finir sur un pauvre chiffre de 118 000 créations d’emplois pour le mois de septembre. Moyenne de 167 000 contre 231 000 les trois mois précèdent. Vous sentez l’accélération….. ça décoiffe !!
Tous ces chiffres sont puisés au BLS donc officiels.
Tout ceci implique d’une part que la croissance n’est pas prête de repartir et que la seule accélération que l’on peut constater est plutôt à la baisse, d’autre part que nous sommes toujours dans un cycle déflationniste qui est amené à durer.
Nous sommes dans une situation très comparable au Japon mais bien plus inquiétante car mondiale pour cela nous pouvons remercier le terroriste économique le plus dangereux et malheureusement pas du tout recherché, Prix Nobel d’Economie, Monsieur Krugman dont les bons conseils ont été suivis à la lettre par tous les banquiers centraux du monde.
Sa recette est simple pour ne pas dire simpliste et surtout totalement idiote, taux à 0, planche à billets, endettement illimité.
Les conséquences de ces politiques seront abominables et vous pouvez évidemment faire confiance aux incapables qui nous dirigent pour gérer cela au mieux.
Nous aurons essayé de vous prévenir.
Alea jacta est.
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The economic liberalism that the world took for granted has given way to the White House’s attempt to gain sectarian control over institutions, as well as government intervention into private companies,