For many months, Arizona has been living in shame. What is this state not guilty of? Its hysterical governor, Jan Brewer, villainous laws against its pregnant illegal immigrants, the silence of elected Republicans like John McCain and the Tucson tragedy have thrown a seemingly unstoppable disgrace on this state.
And then — one time won’t hurt — a bubble of fresh policy emerged that, whatever its fate or actual purity, is a taste of humanity. Whether a spontaneous initiative or a communications campaign chosen by the state itself, the result is quite successful. State residents will be able to raise their eyebrows. And half a million illegal immigrants will be able to breathe.
You will surely want to know why, if this baby is born tomorrow to a family of illegal immigrants, it will become a small American citizen and will have every chance of becoming the future president of the United States.
Arizona’s Senate has just delivered its future fellow beings from undue turpitude. Both SB 1070 laws, concocted by absolutist Republicans in 2010 to deprive children of illegal immigrants born in Arizona of automatic U.S. citizenship, were rejected by the Senate Republican majority by 12 to 18 and 11 to nine — the eight Democrats voting against, of course.
In addition to denying automatic citizenship, SB 1070 laws denied them access to health care, schools and universities where they are already paying higher fees. As a cherry on top, adults would not have the right to drive in the state.
Having become the horned beast of U.S. immigration, attacked by Obama, his administration and real national attention, the state of Arizona has chosen to "pause" and, following lobbying by the Phoenix Chamber of Commerce, has asked politicians to take into account the need that Arizona has for immigrant workers to run the economy and tourism in a very fragile situation. The Arizona Senate offered up a not-unuseful little fairy tale and a communications campaign in this plague-stricken state, which is slightly less so since the vote.
Depuis de longs mois, l'Arizona vit la honte au front. De quoi cet Etat n'est-il pas coupable? Sa gouverneure hystérique Jan Brewer, les lois scélérates en gestation contre ses immigrés illégaux, le silence des Républicains élus comme John McCain et la tragédie de Tucson ont jeté sur cet Etat un opprobre que rien ne semblait devoir arrêter.
Et puis, une fois n'est pas coutume, a surgi de la politique une bulle de fraîcheur, qui, quelle que soit son destin ou sa réelle pureté a un petit goût d'humanité. Initiative spontanée ou campagne de communication décidée par l'Etat lui-même, le résultat est plutôt réussi. Les habitants de l'Etat vont pouvoir relever le front. Et le demi-million d'immigrés illégaux respirer.
Vous voulez sûrement savoir pourquoi, si ce bébé demain naît dans une famille d'immigrés illégaux, il sera un petit citoyen américain et aura toutes ses chances de devenir un futur président US.
Le Sénat Republicain d'Arizona vient de délivrer ses futurs congénères d'Arizona d'une turpitude indigne. Les deux lois SB 1070 concoctées en 2010 par des Républicains jusqu'auboutstes et qui devaient priver les enfants d'illégaux immigrés nés en Arizona de la citoyenneté automatique US ont été retoquées par le Sénat à majorité Républicaine par 12/18 et 11/9, les 8 Démocrates votant évidemment contre.
En plus de cette affaire de citoyenneté automatique refusée, les lois SB 1070 leur refusaient l'accès à la santé, à l'école et aux universités où ils paient déjà des honoraires plus élevés. Cherry on the cake, les adultes n'auraient pas eu le droit de conduire dans l'Etat.
Devenu la bête à cornes des US sur le sujet de l'immigration, attaqué par Obama et son administration et véritable repoussoir national, l'Etat d'Arizona a choisi de "faire une pause" et de suivre le lobbying de la Chambre de commerce de Phenix qui a demandé aux parlementaires de prendre en compte le besoin qu'avait l'Arizona des travailleurs immigrés pour faire tourner l'économie et le tourisme dans une situation encore très fragile. Le Sénat d'Arizona s'offre un petit conte de fée et une campagne de communication pas inutile dans cet Etat devenu pestiféré. Un peu moins depuis ce vote.
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The madness lies in asserting something ... contrary to all evidence and intelligence. The method is doing it again and again, relentlessly, at full volume ... This is how Trump became president twice.
It wouldn’t have cost Trump anything to show a clear intent to deter in a strategically crucial moment; it wouldn’t even have undermined his efforts in Ukraine.