Obama’s Eyes on Africa

Published in Cyberpresse
(Canada) on 13 July 2009
by André Larocque (link to originallink to original)
Translated from by Carol Schmitz. Edited by Katy Burtner.
Hope. Just hope.

The hope of better days. The hope that the people of Africa, this unloved continent, this continent of difficulties, may finally have a say in things. The hope for a respectful development. The hope that peace succeeds in its conflicts and that joint efforts can halt the diseases that undermine its future.

This is the intense, but at the same time realistic, message that U.S. President Barack Obama delivered this weekend, during his first official visit to Africa. Visiting Ghana, one of the few African democracies, Obama launched a vibrant call for Africa to take its destiny into its own hands.

Inspired by his recent presidential campaign during which he managed to convince millions of Americans to trust him, Barack Obama has emphasized, with justice, intensity and conviction, the importance for Africa to combat anti-democratic practices, conflicts and disease.

More importantly, he knew to trust the Africans. But the road to better days will be long and fraught with pitfalls.

Major challenges

Population growth in Africa will be exploding, with a population expected to double within 40 years to reach two billion people. The continent will then hold 22 percent of the world’s population.

This rampant population growth will result in major challenges in economics, health, education and governance. The AIDS fight alone will require constant efforts to try to raise life expectancy in developing countries.

The bar is high and Africa will not accomplish this alone. The support of industrialized countries and America cannot be ignored.

Despite many challenges, Africa must dream of the day when peace will eliminate war, when democracy will defeat nepotism and corruption, when health will triumph over disease and when wealth will not only be seen in developed countries.

And this dream may be based on a speech given in Ghana on some Saturday in July of 2009 by the first black president of the United States, with the blood of Africa running through his veins.

The gift of self

Despite a difficult economic context, the generosity of Canadians does not seem to be questioned. At least, that is what a Statistics Canada survey on donations, volunteering and contributions suggests.

Conducted among 22,000 Canadians in 2007, the study highlights the generosity of people who do not hesitate to financially support charities or who volunteer to ensure the smooth running of non-profit organizations.

The survey reveals that 25 percent of the most generous donors have financially supported one or more charities for an average amount of $364. These donors provided 82 percent of the total value of donations, while 25 percent of people who spent the most time volunteering provided 78 percent of unpaid work.

During the 12 months covered by the survey, some 23 million Canadians, or 84 percent of the population aged 15 and over, have donated money to a nonprofit organization or charity. During the same period, 12.5 million Canadians, or 46 percent of the population, gave their time to support a cause they hold dear.

Religious organizations were the main beneficiaries. Popular donations have also supported, in order, the social services sector, hospitals, education and sports and recreation.

In this new millennium, it remains reassuring to note that generosity and selflessness are core values ingrained in the habits of Canadians.


Le regard d'Obama sur l'Afrique

L'espoir. Simplement l'espoir.
L'espoir de jours meilleurs. L'espoir que la population de l'Afrique, ce continent mal aimé, ce continent de tous les maux, puisse enfin avoir voix au chapitre. L'espoir d'un développement respectueux. L'espoir que la paix succède aux conflits et que les efforts communs permettent d'endiguer ces maladies qui minent son avenir.
C'est le message à la fois intense mais réaliste qu'a livré ce week-end le président américain Barack Obama, lors de sa première visite officielle en Afrique. De passage au Ghana, une des rares démocraties africaines, Obama a lancé un vibrant appel à l'Afrique pour qu'elle prenne sa destinée en main.


Inspiré par sa récente campagne présidentielle au cours de laquelle il a su convaincre des millions d'Américains de lui faire confiance, Barack Obama a insisté avec justesse, intensité et conviction sur l'importance pour l'Afrique de combattre les pratiques antidémocratiques, les conflits et la maladie.
Mais plus encore, il a su faire confiance aux Africains.
Mais la route vers des jours meilleurs sera longue et parsemée d'embûches.
De grands défis
La croissance démographique sera fulgurante en Afrique dont la population devrait doubler d'ici 40 ans pour atteindre deux milliards de personnes. Le continent comptera alors 22% de la population mondiale.
Cette démographie galopante se traduira par des défis majeurs en matière d'économie, de santé, d'éducation et de gouvernance. La lutte au sida exigera à elle seule des efforts constants pour tenter de relever l'espérance de vie dans ces pays en voie de développement.
La barre est haute et l'Afrique n'y parviendra pas seule. L'appui des pays industrialisés et de l'Amérique est incontournable.
Malgré tant de défis, l'Afrique se doit de rêver du jour où la paix éliminera la guerre, où la démocratie vaincra le népotisme et la corruption, où la santé triomphera de la maladie et où la richesse ne sera pas uniquement le lot des pays développés.
Et ce rêve sera peut-être inspiré d'un discours prononcé au Ghana un certain samedi de juillet 2009 par le premier président noir des États-Unis, dont le sang de l'Afrique coule dans les veines.
Le don de soi

Malgré un contexte économique difficile, la générosité des Canadiens ne semble pas se démentir.
C'est du moins ce que laisse entendre une enquête de Statistique Canada sur le don, le bénévolat et la participation.

Réalisée auprès de 22000 Canadiens en 2007, l'étude met en lumière la générosité de la population qui n'hésite pas à supporter financièrement des organismes de bienfaisance ou à s'impliquer bénévolement pour assurer la bonne marche d'organisations à but non-lucratif.

L'enquête révèle que les 25% de donateurs les plus généreux ont soutenu financièrement un ou des organismes de bienfaisance pour un montant moyen de 364$. Ces donateurs ont fourni 82% de la valeur totale des dons alors que les 25% des personnes ayant consacré le plus de temps au bénévolat ont fourni 78% du travail non rémunéré.

Pendant les 12 mois visés par l'enquête, quelque 23 millions de Canadiens 84% de la population de 15 ans et plus ont fait un don en argent à un organisme sans but lucratif ou de bienfaisance. Pendant la même période, 12,5 millions de Canadiens 46% de la population , ont fait dont de leur temps pour appuyer une cause qui leur tient à coeur.

Les organismes religieux ont été les principaux bénéficiaires. Les dons populaires ont également supporté, dans l'ordre, le secteur des services sociaux, des hôpitaux, de l'éducation et des sports et loisirs.

En ce nouveau millénaire, il demeure donc rassurant de constater que la générosité et le don de soi sont des valeurs fondamentales bien ancrées dans les moeurs des Canadiens.
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