Dec. 6 is a black day for conservatives who are still hoping for bad news for the country just to undermine Barack Obama's presidency. According to economists, unemployment is at its lowest in five years, and the economy seems to be generating new jobs at a sustained rate with more than 200,000 jobs each month, including 203,000 in November, which could continue in 2014. And those numbers come at the same time as the announcement of the resumption of economic growth. So far, the unemployment rate is 7 percent. It was 10 percent in the same period in 2009.
It is now, when the economy is regaining strength, that the president of the United States chose on Dec. 4 to make his most populist speech since his election in 2008. Obama said the United States had lost sight of the principle upon which American history is founded: Human beings are born equal. This is no longer true. And the 44th noted a second fact: Not only is the gap becoming wider between rich and poor, but it becomes increasingly difficult to progress socially, which has never happened before. America has always allowed a person born in a poor environment to quickly reach the top. History is full of them. "The guy on the factory floor could picture his kid running the company someday," Obama recalled.
For conservatives, growing inequalities stem from the disparity between jobs offered by the new economy and education. For Obama, this inequality is primarily a matter of political choice. Since 1979, when he left school, productivity increased by 90 percent, but the average family income grew on average by 8 percent. Since 1979, the economy has doubled in size, but this growth has benefited a happy few. “The top 10 percent no longer takes in one-third of our income — it now takes half," said POTUS. "Whereas in the past, the average CEO made about 20 to 30 times the income of the average worker, today’s CEO now makes 273 times more."
Obama is coming to a time in his presidency when he no longer needs to monitor the polls. His only concern now is his place in history. Freed from a campaign for re-election, Obama finally becomes himself. He can say out loud what everyone knows: America’s problem is not the budget deficit, but the bad policies inspired by conservatives, who have allowed the rich to get richer and others to become poor and to watch the social ladder be removed. The talk in Washington, and therefore politics, can finally change. This is a bad day for conservatives.
Le 6 décembre est un jour noir pour les conservateurs qui espèrent toujours une mauvaise nouvelle pour le pays, histoire de miner la présidence de Barack Obama: le chômage est au plus bas depuis cinq ans et l'économie semble générer de nouveaux emplois à un rythme soutenu qui pourrait continuer en 2014, selon les économistes: plus de 200.000 emplois chaque mois, dont 203.000 en novembre. Et ces chiffres arrivent en même temps que l'annonce de la reprise de la croissance économique. A ce jour, le taux de chômage est de 7%. Il était de 10% à la même époque en 2009.
C'est ce moment où l'économie reprend des forces qu'a choisi POTUS pour prononcer, le 4 décembre, son discours le plus populiste depuis son élection en 2008. Obama a affirmé que les Etats-Unis avaient perdu de vue le principe sur lequel est fondé toute l'histoire américaine: les êtres humains naissent tous égaux. Ce n'est plus vrai. Et 44th relève un deuxième fait: non seulement le fossé est de plus en plus large entre riches et pauvres, mais il devient de plus en plus difficile de progresser socialement, ce qui ne s'est jamais produit. L'Amérique a toujours permis, de manière rapide, à une personne, née dans un milieu pauvre, d'atteindre les sommets. L'histoire en est pleine. "Le type qui travaillait à la chaine pouvait rêver que son fils dirigerait un jour l'usine," a rappelé Obama.
Pour les conservateurs, les inégalités croissantes tiennent à la disparité entre les emplois proposés par la nouvelle économie et l'éducation. Pour Obama, cette inégalité est d'abord une affaire de choix politique. Depuis 1979, année où il a quitté le lycée, la productivité a progressé de 90%, mais le revenu moyen des familles a progressé, lui, de huit pour cent en moyenne. Depuis 1979, l'économie a doublé de volume, mais cette croissance a profité à quelques happy few. "Le top ne récolte plus seulement 30% de notre richesse, mais la moitié," a expliqué POTUS. "Dans le passé, un PDG gagnait 20 à 30 fois le salaire d'un ouvrier. Aujourd'hui, le PDG gagne 273 fois plus en moyenne."
Obama arrive à un moment de son mandant où il n'a plus besoin de surveiller les sondages. Sa seule préoccupation est désormais sa place dans l'histoire. Libéré d'une campagne pour sa réélection, Obama devient enfin lui-même. Il peut dire tout haut ce que tout le monde sait: le problème de l'Amérique n'est pas le déficit budgétaire, mais les mauvaises politiques inspirées par les conservateurs, qui ont permis aux riches de devenir encore plus riches et aux autres de s'appauvrir et de voir l'échelle sociale être retirée. Le discours à Washington -- et donc la politique -- peut enfin changer. C'est un mauvais jour pour les conservateurs.
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It wouldn’t have cost Trump anything to show a clear intent to deter in a strategically crucial moment; it wouldn’t even have undermined his efforts in Ukraine.
The madness lies in asserting something ... contrary to all evidence and intelligence. The method is doing it again and again, relentlessly, at full volume ... This is how Trump became president twice.
It wouldn’t have cost Trump anything to show a clear intent to deter in a strategically crucial moment; it wouldn’t even have undermined his efforts in Ukraine.