La méthode Obama en question
Bloquée depuis un an, la réforme de l’assurance maladie est devenue le test par excellence de la capacité de gouverner de
Barack Obama
.
Le président a une curieuse façon de s’y prendre. Pendant de long mois, il a laissé le Congrès en débattre, sans profiter de la super-majorité dont il disposait au Sénat pour en finir. Maintenant que les Républicains ont, à la faveur d’une élection partielle, retrouvé les moyens de faire obstruction, il est obligé de descendre dans l’arène. Mais, quel que soit le résultat final, le coût politique de l’opération sera élevé.
Convoqué jeudi à la Maison-Blanche, le « sommet » sur la santé (photo) n’a pas fait bouger les lignes. Ce n’était d’ailleurs pas son objet.
Huit mois avant les législatives de mi-mandat et devant les caméras de télévision, partisans et adversaires de la réforme ne pouvaient que plaider leurs causes opposées.
Barack Obama voulait montrer que les Républicains s’étaient enfermés dans leur refus. Il a peut-être réussi. Il prétendait, lui, se montrer ouvert au dialogue. Mais personne n’est dupe. S’il avait réellement cherché le compromis, il s’y serait pris autrement : usant, en privé, de son pouvoir de conviction pour arracher, un à un, l’assentiment de tel ou tel sénateur ou représentant ; redoublant d’efforts, en public, pour défendre son projet de loi qui a perdu le soutien de l’opinion.
On dit beaucoup que le système politique américain est bloqué, que les pouvoirs de la minorité au Congrès sont tels qu’il est presque impossible de réformer le pays, à moins de faire face à une urgence manifeste comme, par exemple, lorsqu’il fallut approuver le plan de relance ou sauver l’industrie automobile. C’est en partie vrai, mais la méthode Obama est aussi en cause.
Comme beaucoup de ses prédécesseurs, il est arrivé à la Maison-Blanche en promettant de « changer la manière de faire de la politique à Washington ». Sur ce plan, la déception est grande. Rien n’a été fait pour combattre la polarisation de l’opinion qui se reflète au Congrès et contribue tant au blocage politique.
Pour prouver sa capacité à gouverner, Barack Obama doit absolument faire adopter sa réforme de la santé. Il ne lui reste plus qu’à passer en force, par un vote à la majorité simple. Ce n’est pas le meilleur moyen de mettre de l’huile dans les rouages à l’approche des législatives de novembre et des défis qui s’acculent pour les États-Unis.
The far left cannot reform or change anything without dictating the country into a false identity. President Nixon was a republican president that knew the danger of socialist programs and welfare that weakened the nation into dependency. He was fair enough to keep the values of the country to the left with its cultural freedoms without compromising the country’s laws and protecting it’s citizens. 1974 was the brightest time in this nation in a way that held no position with Greed or Terrorism. The general nature of the country was intelligent with a huge dose of common sense. Thee middle class was the majority and it held the country together with hard work and decency.
Watergate never bothered me in relation to the next 6 presidents. As far as I’m concerned it was some way for the democrats then to set up Presdident Nixon. Fortunately he was pardoned and never went to prison. He had a decent background in law and served in the military. His daughter was the most beautiful bride ever in the white house. Even if President Nixon lied he held the truest part of this nation together and kept it free. At least for those who cared.