The U.S. Department of Homeland Security has just put out a warning against potential acts of violence based on the illusion that Donald Trump will be back in the White House in August. The department says they have observed "an increasing but modest level of activity online" by individuals who call for violence.
It may be even worse than what the authorities see on social media. FBI Director Christopher Wray notes numerous communications between national terrorists are “taking advantage of encrypted platforms to evade law enforcement.”
The advisory on public security issued last weekend to law enforcement and to state and local authorities is due to an expected resurgence of false allegations about the results of the 2020 election.
The allegations are propagated notably by the hallucinating pillow manufacturer Mike Lindell, CEO of MyPillow, a close friend of Trump's, whose remarks fall more under psychiatry than politics. Lindell must present evidence at a symposium now taking place in South Dakota that Trump won the election. This unhinged person claims there was election fraud in all 50 American states.
Just how far do the insanity and ridiculousness of his revelations go? He expects Republican states to use his evidence before the Supreme Court.
Violence: Trump Fanatics Are Preparing Themselves
The insane comments of Lindell and company have led the director of the FBI and others responsible for homeland security to sound the alarm. They do not want to get caught as off guard as they were during the assault on the Capitol.
According to The New York Times, Trump himself has confided in many with whom he has spoken that he expects to be back in the White House in August.
Some people interpret his claims as an implied call for his base to prepare themselves for action so they can accomplish what they failed to do last Jan. 6.
A recent report by the FBI affirms that “violent white extremists with racial or ethnic motivation share downloadable links destined to target mass gatherings, critical infrastructures and security forces.”*
The Extreme Right, for Trump and Against Vaccines
The threats of terrorism inside the United States are associated with conspiracy theories linked to the 2020 elections, the insurrection of Jan. 6, 2021 and the coronavirus pandemic, all at once. The American extreme right, dimwitted and undereducated, vehemently oppose vaccination passes and obligatory masks.
The unspeakable representative Marjorie Taylor Greene suggested at a recent Republican fundraiser that her supporters could threaten President Joe Biden’s “friends of the police state” with guns if they came to their homes demanding their vaccination status for the coronavirus. In the current threat environment, the DHS is particularly worried by the fact that isolated, mentally troubled offenders and small extremist groups that are hard to detect think all this outrageous speech is a justification for violence.
*Editor’s note: Although accurately translated, this quoted passage could not be independently verified.
Non, Trump ne sera pas de retour d'ici la fin août
Le Département de la sécurité intérieure des États-Unis (DHS) vient d’émettre une mise en garde contre de potentiels actes de violence fondés sur l’illusion que Trump sera de retour à la Maison-Blanche en août. Le département déclare avoir observé « un niveau croissant mais modeste d’activité en ligne, » de la part d’individus qui appellent à la violence.
Et c’est peut-être encore pire que ce que les autorités surveillent sur les médias sociaux. Le directeur du FBI, Christopher Wray, note que de nombreuses communications entre terroristes nationaux « se font via des plates-formes cryptées pour lesquelles nous n’avons pas d’accès... »
L’avis de sécurité publique, transmis le week-end dernier aux forces de l’ordre, aux autorités étatiques et locales, est émis alors qu’on assiste à une résurgence de fausses allégations sur le résultat des élections de 2020. Elles sont propagées notamment par le fabricant d’oreillers halluciné Mike Lindell, PDG de MyPillow, un intime de Donald Trump, dont les propos relèvent plus de la psychiatrie que de la politique. Lindell doit présenter des preuves que Trump a remporté les élections lors d’un symposium qui se déroule présentement au Dakota-Sud. Le délirant personnage prétend qu’il y a eu fraude électorale dans tous les 50 États américains. Jusqu’où vont aller l’inanité et le ridicule de ses révélations ? Il s’attend à ce que des États républicains utilisent ses preuves devant la Cour suprême.
Violences : Les exaltés pro-Trump se préparent
Les propos insensés de Lindell et consorts amènent le directeur du FBI et d’autres responsables de la sécurité intérieure à sonner l’alerte. Ils ne veulent pas être pris au dépourvu comme lors de la prise d’assaut du Capitole.
Selon le New York Times, Trump lui-même a confié à plusieurs interlocuteurs qu’il s’attendait à être de retour à la Maison-Blanche en août. Certains interprètent ses propos comme un appel implicite à sa base afin qu’elle se prépare à entrer en action pour réussir ce qu’elle a raté le 6 janvier dernier.
Un rapport récent du FBI affirme que « [...] des extrémistes blancs violents à motivation raciale ou ethnique partageaient des liens téléchargeables destinés à cibler des rassemblements de masse, des infrastructures critiques et des forces de l’ordre ».
L’extrême droite, pour Trump et contre les vaccins
Les menaces de terrorisme intérieur aux États-Unis sont associées à des théories complotistes liées à la fois aux élections de 2020, à l’insurrection du 6 janvier 2021 et à la pandémie de coronavirus. L’extrême droite américaine, sous-douée et sous-éduquée, s’oppose avec véhémence aux passes vaccinales et au port du masque obligatoire.
L’inénarrable représentante Marjorie Taylor Greene a suggéré lors d’une récente collecte de fonds républicaine que ses partisans pourraient menacer les « amis de l’État policier » du président Biden avec des armes à feu s’ils se présentent chez eux pour leur demander leur statut de vaccination contre le coronavirus. Dans l’environnement actuel de menaces, le DHS est particulièrement préoccupé par le fait que des délinquants isolés, mentalement troublés, et de petits groupes d’extrémistes, difficiles à détecter, considèrent toutes ces outrances verbales comme une justification de la violence.
This post appeared on the front page as a direct link to the original article with the above link
.